iPod extrême.
On trouve de tout sur Internet. Du bon, du mauvais. C’est devenu pour la plupart des gens, LA source d’information. Plus particulièrement au niveau technologique, on peut y trouver références, manuels d’utilisation ou de dépannage de tous les gadgets qui nous entourent. Pas besoin de vous dire que quand mon iPod s’est retrouvé complètement gelé dans mon auto à -1000 C° pendant l’hiver, c’est sur le net que j’ai cherché une solution. J’ai tout de suite atterri sur le site de Apple, ils ont justement créé une procédure d’urgence pour réveiller un iPod récalcitrant, les cinq R: réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller et restaurer. Malgré ma bonne volonté, après avoir effectué toutes ces techniques j’étais toujours devant mon iPod cliniquement mort. Tristesse. Moi qui voulais qu’il survive jusqu’à l’arrivée de l’iPhone au Canada (oui, je sais que c’est possible d’en posséder un ici, mais je n’ai pas le goût de faire jouer dans l’appareil pour qu’il fonctionne, je préfère l’iPhone intégral non modifié). Je suis retourné sur web à la recherche d’un cas comme le mien, à la recherche d’une façon de ressusciter mon mini juke-box personnel. Et j’ai trouvé. Quand je vous disais que l’on trouve tout. Un mec comme moi avec le même genre d’histoire par rapport à son iPod, décrivait comment il avait réussi à remettre en vie ce qui semblait pourtant mort à jamais. Le hic dans son histoire, c’est que sa manoeuvre de remise en ordre était, disons, très particulière. Il expliquait qu’un choc assez abrupt pouvait réveiller le machin. Ouin. Un choc brutal. Sur une bébelle de 300$. En fait, il parlait sérieusement de laisser tomber l’appareil sur le sol afin de provoquer un choc et permettre une reconnexion. Sa conclusion reposait même sur les aventures que d’autres personnes avaient vécues. Après vérification sur d’autres sites, la même histoire se retrouvait… OK. Je sais. Je suis sur Internet et un parfait inconnu me décrit comment si je laisse tomber mon iPod sur son séant, il peut retrouver la parole. Je sais que cette théorie ne repose en fait sur rien. Rien. Mais je n’ai justement rien à perdre. Mon iPod ne fonctionne pas. Ma décision est prise, je l’essaie. Je relie la procédure, m’installe sur un tapis, je veux bien le laisser tomber, mais pas le briser (!). Premier essai, 2 pieds. 24 pouces. Je ferme les yeux et ouvre la main. Boum. Je regarde mon iPod. Toujours mort. Quel con. Mais bon, peut-il être plus mort que mort? Deuxième tentative. Une grande respiration. 3 pieds. 36 pouces du sol. J’ai le vertige. Je lâche prise. BOUM. Je suis fier de mon coup. C’est un super choc ça. Moi aussi, un miracle m’arrivera. Ca sera les Pâques de mon iPod. Le retour. Je le ramasse. Rien. No life. Dead. OK. Je sais. Je suis vraiment un idiot. J’ai balancé mon iPod parce qu’un plus idiot que moi a écrit n’importe quoi et m’a demandé de le faire. Une chance qu’il ne m’a pas demandé de sauter avec l’appareil, je l’aurais sûrement fait. Là, je n’ai vraiment plus rien à perdre. À part la raison. J’entreprends une ultime tentative. Ça passe ou ça casse (!). Je le monte plus haut que ma tête, à bout de bras. Je double mon deuxième essai. Je suis à 7 pieds. 84 pouces. J’ai de la peine à distinguer mon iPod au travers des nuages. L’air se fait rare à une telle hauteur. Je suis prêt. Je lâche! Le iPod file. La vitesse est vertigineuse. La friction de l’appareil émet un son strident. Sûrement le choc du contact de l’atmosphère terrestre. Ça sent le soufre. Impact dans 30, 29, 28… j’ai le souffle court. La secousse sera terrible! 10, 9, 8… BOOOOOOUUUUMMMMMMM! Mon iPod est sur le dos. Sur le tapis. Je m’approche. Il est en un seul morceau. Pas cassé. En une seule et unique pièce. J’entends un son. Non. C’est plus qu’un simple son. J’entends la vie. C’est bien mon iPod qui ronronne. Alléluia! Miracle. Je presse la roulette centrale, la pomme apparaît. Son coeur (de pomme) bat! Il est vivant! De retour! Ressuscité! Je suis un Dieu. J’ai redonné la vie! Le Sage avait raison. Comment avais-je pu douter de sa parole. Le Net est grand. Il est Pure Vérité. Dorénavant je serai obligé de croire tout ce qui sera écrit sur la Toile. Mon iPod est revenu. C’est la preuve….
P.S. Ceci est une histoire vraie. Cette manoeuvre est délicate et ne peut convenir à tout le monde. Éviter de le faire si vous n’êtes pas un professionnel. Et surtout si votre garantie n’est pas échue…
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Ça vous dirait de revenir?
Comment une organisation ou une entreprise du Saguenay-Lac-Saint-Jean (ou de toute autre région loin des grands centres urbains) fait-elle pour approcher des candidats intéressants de tout le Québec à venir s’installer dans sa région et combler un poste d’importance? Le sentiment d’appartenance. Il faut cibler avant tout une clientèle originaire de la région. On a beau vendre une qualité de vie, il faut avant tout connaître cette qualité pour se laisser approcher. L’idée d’interpeller directement les gens originaires du Saguenay-Lac-Saint-Jean à revenir à la maison est l’approche qui m’est apparue la plus logique pour cette publicité de recrutement de la Caisse Desjardins de Chicoutimi. Même si elle s’adresse directement aux expatriés (!), elle permet de mettre en valeur des qualités recherchées de plus en plus par la nouvelle génération: notion de famille, d’appartenance, de loyauté bien avant celle de réussite sociale et ces avantages n’ont pas de frontière. De plus en plus de jeunes veulent se réaliser professionnellement en se réalisant personnellement. La nouvelle génération arrive et dicte de plus en plus les avenues qu’elle veut prendre. Si l’on veut que notre message soit entendu et retenu par eux, vaut mieux parler leur langage…
P.S. En passant, le poste disponible est Directeur(trice) du Développement des affaires, si cela peut vous intéresser ou quelqu’un de votre entourage, communiquez avec le Département des ressources humaines de la Caisse Desjardins de Chicoutimi au (418) 549-3224.
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Dans les typos les meilleurs graphistes.
J’ai toujours dit que l’on reconnaissait les bons graphistes par l’usage qu’ils font de la typographie. Bien au delà des formes et des couleurs, les notions de bases dans ce domaine particulier de notre métier doivent être, dans un premier temps, acquises et ensuite maîtrisées. Le problème est que beaucoup de graphistes sont des autodidactes sans formation et que cette partie du métier leur échappe. Attention, je ne dis pas qu’ils sont mauvais pour autant, je dis simplement que dans certains cas, leurs lacunes typographiques sont apparentes. D’autant plus que depuis l’avenement des ordinateurs (hé oui, il se faisait du graphisme avant le mac !), l’on se fie uniquement sur ses appareils pour calibrer ses textes. Pire encore, on torture des caractères pour arriver à ses fins. Il n’y a rien de pire, selon moi, qu’une police de caractère étirée ou condensée avec un logiciel de mise en page. La polices ont été créées avec une graisse et une chasse bien à elles, si on en veut une plus condensée, on regarde si la famille en contient une, sinon on change de famille: mais de grâce, n’écrasez pas le caractère! J’ai eu la chance de côtoyer des sommités comme professeurs, de vrais typographes, du temps où c’était encore un métier. Du temps où des familles complètes étaient dessinées à la main. J’ai des amis graphistes qui gagnent leurs vies à créer des polices. C’est pour moi, un mélange de sciences et d’art, d’architecture et d’ingénierie. Alors quand on étire une lettre jusqu’à ne plus la reconnaître, qu’on la dénature c’est pour moi l’équivalent de manger du foie gras avec du ketchup. Gaspiller. Je ne cherche à mouler les graphistes et restreindre leur créativité. La digression des règles provoque souvent des créations intéressantes. Le parallèle avec la cuisine est d’ailleurs excellent; avant d’improviser une recette, un bon chef sait comment cela se passe et maîtrise ses techniques. Il existe une multitude de références sur la typographie sur internet, il existe des livres, il n’est jamais trop tard pour apprendre et surtout comprendre comment cela se passe au delà du clavier.
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Quand la fiction rejoint la réalité.
Été 1970. Comme à tous les étés, ma famille passait les deux semaines de vacances d’été au Camping le Genévrier de Baie-Saint-Paul. Comme à tous les étés, je devais recommencer à me faire des amis puisqu’à part nous, les gens changeaient de place. À 6 ans, se faire des amis, c’est assez facile. La règle est simple: il faut s’intégrer à un groupe déjà existant. Donc, la première journée des vacances était réservée à la recherche du dit-groupe. Cet été-là, je fus assez chanceux (façon de parler). Pas très loin d’où nous étions campés, de jeunes garçons de mon âge étaient attroupés autour d’une immense épinette et regardaient la cime de celui-ci. En fait, ils ne faisaient pas que regarder la cime, tout en haut de l’arbre, une voiturette rouge y était perchée. Avec de minuscules cailloux, les enfants cherchaient à faire tomber le jouet afin de le récupérer. Dans ma petite tête de garçon de 6 ans, le calcul a été assez rapide: un groupe + un projet = une chance d’intégration. Je m’avance, demande hypocritement à quoi ils jouent (méchant bon vendeur). J’analyse la situation. Une autre équation naît dans ma petite tête: un groupe + un problème – une intervention de ma part = amitié garantie + possibilité de devenir un héros. Imaginez, devenir le héros pour deux semaines de vacances. Le rêve. En observant leurs façons de faire, je réalise que ça sera très facile de déloger la voiture de l’arbre. À les voir lancer leurs minuscules cailloux, ils ne sont pas sortis du bois (!). Je déniche une immense roche et m’approche. Au ralenti, dans ma tête, les yeux se tournent vers moi, je m’avance, lève le caillou au bout de mes bras, mes muscles se gonflent, mes cheveux volent au vent, je suis dans ma bulle. Trop dans ma bulle. Je n’entends pas les garçons me crier. Me crier de ne pas faire ça. Trop tard. Le rocher décrit un angle parfait, accroche la voiture, défonce la touffe d’épinette et atterrit avec fracas de l’autre côté de l’arbre. Où se trouve une voiture. J’ai entendu un bruit (ou un bris) de vitre et les cris d’une femme. En fait, je n’entendais presque rien parce que j’avais déjà pris la fuite. Je cours aussi vite que je sais lancer les pierres. Été 1970. Comme à tous les étés, ma famille passait les deux semaines de vacances d’été au Camping le Genévrier de Baie-Saint-Paul. Mais cet été-là je l’ai passé dans notre roulotte à me cacher de mes nouveaux anciens amis. Merci à mon ami Louis Doucet, de la Caisse Desjardins, de m’avoir fait parvenir cette publicité qui m’a rappelé de bons (!) souvenirs.
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Les couleurs de l’automne.
Je sais que c’est un peu déprimant comme titre avec l’hiver qui n’en finit plus, mais je voulais parler des tendances que Pantone veut mettre de l’avant cet automne. Ceux pour qui Pantone ne veut rien dire, disons que cette compagnie est la norme en terme de couleur au niveau de la chaîne de production graphique, et tout autant en mode qu’en design d’intérieur. Chaque année et chaque saison, Pantone fixe ce qui sera à la mode ou pas en se fiant aux tendances du marché. Pour l’automne 08, nous parlons de teintes de bleus, verts et mauves très froids, suivis d’une variation de rouge, orange et jaune. Selon le Pantone Color Institute, l’automne a toujours été synonyme de couleur légère, mais cette saison, on verra des teintes plus claires avec des nuances un peu plus criardes. Les teintes usuelles automnales comme le brun et le gris seront encore présentes cette année, mais les stars de la saison seront vraiment le bleu et le mauve. Quand on regarde de plus près ce spectre de couleur, on se dit que cela a un air de déjà vu. Et l’on n’a pas tort. J’aimerais bien voir, sur une période de vingt-cinq ans, toutes les tendances que la mode a prises. Cet arc-en-ciel aurait autant de variantes… que de constances. Si je regarde les productions imprimées que je faisais au début des années 90, les couleurs que j’utilisais se rapprocheraient définitivement des tendances d’aujourd’hui. Comme la mode, le graphisme se base sur les tendances qui l’entourent. On est toujours surpris de revoir des teintes revenir à la mode, mais encore plus de les voir changer par rapport à nos perceptions: comment une couleur comme le brun, jadis considéré drabe et réservé aux plus vieux, aujourd’hui se mélange au rose pour devenir très tendance et prisé par les plus jeunes? Les modes sont faites pour être suivies et… transgressées. Si l’on veut que notre message reste, on s’accorde une chance en jouant le conservatisme. Si au contraire on veut être dans le coup, il est primordial de suivre le rythme et les tendances. Si on veut être à l’avant-garde, on risque plus en tentant de deviner le prochain buzz. Ce qu’il faut comprendre c’est qu’avec les couleurs, même si cela demeure une question de goût, l’industrie de la mode et des communications tracent des sillons dans lesquels il faut savoir naviguer.
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L’habit ne fait plus le moine.
Les temps changent. Les vêtements aussi. Plus encore que les goûts, c’est la signification du code vestimentaire qui est complètement bouleversée. Jadis, «faire des affaires» signifiait immédiatement porter le costume. Complet-cravate était le mot d’ordre. Le code. Certaines sphères d’activités étaient plus touchées que d’autres: milieu financier, conseil, etc. mais c’était quand même répandu dans tout le milieu des affaires. Cette standardisation avait pour but de démontrer, mais surtout d’assurer, une confiance envers son interlocuteur. Le message disait «je porte ce que je représente». Depuis quelques années, ce code a changé. Je ne veux pas parler d’évolution puisque cela serait discréditer la valeur que certaines personnes donnent encore à cette façon de se vêtir, mais il faut admettre que notre vision est maintenant différente. Observez autour de vous, lors de votre prochain dîner d’affaires, et voyez comment le complet-cravate est en minorité. Observez comment les gens sont maintenant vêtus. Observez comment par rapport à ce constat si vous ou les autres personnes ont une opinion différente par rapport à ce fait. Moi, je ne pense pas. Le code est maintenant plus vague, moins défini. On voit de plus en plus d’importants dirigeants d’entreprise porter des vêtements plus décontractés. Si auparavant on jugeait plus facilement les gens qui sortaient du code, aujourd’hui la norme est beaucoup moins standard. Ce que je trouve drôle dans ce genre de langage non-verbal qu’est l’habillement c’est qu’il pouvait s’avérer être percu différement selon qu’on entre dans la norme ou pas. Comme je n’ai jamais porté le costume, un client m’avait déjà fait remarquer que cela le rassurait (!), qu’au contraire si j’en avais porté un, j’aurais démontré un manque de créativité (!). Comme si un banquier en t-shirt était autant incompétent qu’un designer en complet. Au lieu de se noyer dans la masse, un désir de sortir de celle-ci est maintenant palpable. Au lieu de se joindre à un groupe, on s’individualise même si nous suivons les modes. Nous sommes désormais, et de plus en plus, ce nous portons.
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Nostalgie quand tu me tiens.
Comme beaucoup d’entre vous, je suis sur Facebook où se mélangent amis présents, d’antan et connaissances. Je suis membre de plusieurs groupes dont un qui date de mes belles années universitaires, le Thunderdome. Bar mythique des années 80, le Thunderdome était pour l’ouest de Montréal, ce qu’était les Foufounes Électriques pour l’est de l’Île. Bar punk, alternatif, goth, toutes ces appellations pouvaient y être accolées sauf celles de banale et conforme. Je connaissais bien la faune qui visitait le bar puisque non seulement le propriétaire était un gars d’Alma, mais le gérant ainsi que d’autres membres du personnel venaient du Saguenay, comme moi. C’est sûrement ce qui m’a aidé, à l’époque comme étudiant, d’y faire mes premières frasques en graphisme. Je dis frasques parce qu’en 1985, j’avais à peine 20 ans et, au milieu de mes études universitaires, je suis devenu le graphiste officiel du Thunderdome. C’était génial de voir mes posters envahir les poteaux de téléphone, les murs en construction ainsi que mes tracts coincés sous les essuie-glaces des voitures. C’était l’époque du graphisme sauvage, marginal et irrévérencieux, digne des années noires du milieu punk de l’époque. C’était le début du Mac, l’usage massif des photocopieuses et du collage. J’en avais des souvenirs assez vagues jusqu’à ce que quelqu’un sur Facebook décide de publier tous les artefacts qu’elle avait conservés de cette époque. Je n’en revenais pas qu’elle ait conservé ces tracts depuis plus de 20 ans mais qu’en plus, elle les publie… Internet me surprendra toujours. Redécouvrir ces pièces fut pour moi un grand plaisir. Je vous épargne les non publiables (lire: politically incorrect)…. La suite, si vous êtes membre, dans le groupe Thunderdome sur Facebook!
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Un nouveau Dupuy-Berberian!
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Des photos de vêtements d’automne-hiver prises au printemps par un froid d’hiver en attendant l’été.
Pendant que la plupart des gens mangeaient du jambon ou du chocolat en famille pour fêter Pâques, j’étais en plein shooting photo avec Chlorophylle. Pas tout seul quand même… il faut toute une équipe pour réaliser un tel projet! Le talentueux et sympathique (oui, oui ça peut aller ensemble!) photographe André Kedl était derrière la lentille. Au menu : du soleil, de la neige, du vent, tout ce qu’il faut pour simuler l’hiver un 23 mars. Même si les pieds gelés, les gouttes au nez, les joues rouges, les yeux de raton laveur et les têtes de tuques (!) étaient au rendez-vous, nous étions bien au chaud dans nos vêtements! La plupart des commentaires obtenus des mannequins, qui devaient se plier à nos mises en scène, étaient que les vêtements étaient confortables et les protégeaient très bien du froid. Je sais que l’on est loin des tests auxquels les vêtements Chlorophylle sont contraints au cours de leur développement mais c’est toujours impressionnant de constater leur haute valeur technique. Même dans les conditions où les mannequins étaient inactifs, donc sujets au froid, leurs sous-vêtements et manteaux les réchauffaient. Les photos ont toutes été prises à Québec et au Mont Ste-Anne. Mercredi matin, au réveil, il tombait des peaux de lapins au pied des pentes, les arbres avaient revêtu leurs habits de Noël juste pour nous : c’était magnifique! Un shooting photo d’une telle envergure représente beaucoup de travail, requiert beaucoup de patience et nécessite une bonne préparation. Les journées commencent tôt et finissent tard; chaque retard pris pour une photo, chaque mauvais déplacement, chaque changement de mannequin ou de vêtement provoque un effet domino sur le prochain shoot et créé un certain stress. Malgré les intempéries et les contrariétés auxquelles nous étions confrontés, c’est le résultat final qui compte. Merci à Josée, Katy, Laval, André, Vincent, Marc, Diane, Jérome, Geneviève, Lorie, Fred, Étienne, André-Anne et Jasey-Jay d’avoir rendu ce shooting si sympathique!