Ça vous dirait de revenir?
Comment une organisation ou une entreprise du Saguenay-Lac-Saint-Jean (ou de toute autre région loin des grands centres urbains) fait-elle pour approcher des candidats intéressants de tout le Québec à venir s’installer dans sa région et combler un poste d’importance? Le sentiment d’appartenance. Il faut cibler avant tout une clientèle originaire de la région. On a beau vendre une qualité de vie, il faut avant tout connaître cette qualité pour se laisser approcher. L’idée d’interpeller directement les gens originaires du Saguenay-Lac-Saint-Jean à revenir à la maison est l’approche qui m’est apparue la plus logique pour cette publicité de recrutement de la Caisse Desjardins de Chicoutimi. Même si elle s’adresse directement aux expatriés (!), elle permet de mettre en valeur des qualités recherchées de plus en plus par la nouvelle génération: notion de famille, d’appartenance, de loyauté bien avant celle de réussite sociale et ces avantages n’ont pas de frontière. De plus en plus de jeunes veulent se réaliser professionnellement en se réalisant personnellement. La nouvelle génération arrive et dicte de plus en plus les avenues qu’elle veut prendre. Si l’on veut que notre message soit entendu et retenu par eux, vaut mieux parler leur langage…
P.S. En passant, le poste disponible est Directeur(trice) du Développement des affaires, si cela peut vous intéresser ou quelqu’un de votre entourage, communiquez avec le Département des ressources humaines de la Caisse Desjardins de Chicoutimi au (418) 549-3224.
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Des photos de vêtements d’automne-hiver prises au printemps par un froid d’hiver en attendant l’été.
Pendant que la plupart des gens mangeaient du jambon ou du chocolat en famille pour fêter Pâques, j’étais en plein shooting photo avec Chlorophylle. Pas tout seul quand même… il faut toute une équipe pour réaliser un tel projet! Le talentueux et sympathique (oui, oui ça peut aller ensemble!) photographe André Kedl était derrière la lentille. Au menu : du soleil, de la neige, du vent, tout ce qu’il faut pour simuler l’hiver un 23 mars. Même si les pieds gelés, les gouttes au nez, les joues rouges, les yeux de raton laveur et les têtes de tuques (!) étaient au rendez-vous, nous étions bien au chaud dans nos vêtements! La plupart des commentaires obtenus des mannequins, qui devaient se plier à nos mises en scène, étaient que les vêtements étaient confortables et les protégeaient très bien du froid. Je sais que l’on est loin des tests auxquels les vêtements Chlorophylle sont contraints au cours de leur développement mais c’est toujours impressionnant de constater leur haute valeur technique. Même dans les conditions où les mannequins étaient inactifs, donc sujets au froid, leurs sous-vêtements et manteaux les réchauffaient. Les photos ont toutes été prises à Québec et au Mont Ste-Anne. Mercredi matin, au réveil, il tombait des peaux de lapins au pied des pentes, les arbres avaient revêtu leurs habits de Noël juste pour nous : c’était magnifique! Un shooting photo d’une telle envergure représente beaucoup de travail, requiert beaucoup de patience et nécessite une bonne préparation. Les journées commencent tôt et finissent tard; chaque retard pris pour une photo, chaque mauvais déplacement, chaque changement de mannequin ou de vêtement provoque un effet domino sur le prochain shoot et créé un certain stress. Malgré les intempéries et les contrariétés auxquelles nous étions confrontés, c’est le résultat final qui compte. Merci à Josée, Katy, Laval, André, Vincent, Marc, Diane, Jérome, Geneviève, Lorie, Fred, Étienne, André-Anne et Jasey-Jay d’avoir rendu ce shooting si sympathique!
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Un hôtel vert.
Ceux qui n’ont pas visité l’Hôtel Chicoutimi depuis un an devraient y jeter un coup d’oeil afin de réaliser à quel point le plus vieil établissement hôtelier de Chicoutimi a changé. Au niveau décor tout a été redésigné par Pierre Routhier de Stimuli Design: meubles, draperies, luminaires, tout a été changé. Et voilà qu’Éric Larouche (le directeur général) et son équipe innovent en devenant le premier hôtel à embaucher une écoconseillère à temps plein. Cette embauche lui permet de poursuivre sa démarche en développement durable. Ça veut dire quoi concrètement? L’Hôtel réduit à la source sa production de déchets, en éliminant le plus possible les emballages individuels et les produits jetables, et a entrepris une démarche de restructuration complète de gestion des matières résiduelles qui lui permet de recycler 312m3 (soit un gros conteneur par semaine). Il s’associe au Projet Compostable mené par la Chaire de recherche en éco-conseil de l’UQAC, afin de transformer en compost les matières putrescibles générées par ses activités et ainsi réduire de plus de 20 tonnes métriques par année. En plus, l’Hôtel offrira des forfaits permettant aux clients qui le désirent, de compenser les gaz à effet de serre qu’ils auront émis pendant leur séjour et permettra l’organisation d’événements écoresponsables à tous les clients désireux de réduire leur impact négatif sur le milieu. Dans la continuité de toutes ces actions de développement durable, la plupart des décisions d’achats sont orientées localement. Le partenariat avec la Table Agroalimentaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean explique bien cette nouvelle philosophie. L’Hôtel est aussi une vitrine pour les différents artistes et artisans locaux. Une chambre type est composée d’articles 100% régionaux tels : mobilier fabriqué par un ébéniste de la région, housses de couettes, rideaux, coussins, recouvrement de chaises et autres, tous confectionnés par un atelier de couture de Saguenay; oeuvres d’art, vases et sculptures, fabriqués et réalisés par des artistes régionaux, ainsi que des produits d’accueil tels savon et shampoing, fabriqués à l’Hôtel par la savonnerie l’Émoustillé, les produits sont végétaux, faits à la main et tout à fait biodégradables. C’est vraiment intéressant de voir des institutions comme l’Hôtel Chicoutimi se démarquer de ses compétiteurs en posant des gestes concrets pour l’environnement et en démontrant une responsabilité vis-à-vis de son milieu. Il serait peut-être temps d’aller y jeter un petit coup d’oeil afin de recycler l’idée que vous en aviez…
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Et si on recommençait?
C’est sous ce thème que j’ai créé le tout nouveau catalogue printemps-été Chlorophylle. 28 ans après avoir fondé l’entreprise, Laval Tremblay s’associe à Daniel Lemay et donne un second souffle à ce fleuron régional. « Et si on recommençait », c’est une façon de dire à ceux qui nous suivent depuis toujours que l’on n’a pas changé, que nous sommes les mêmes, que notre passion perdure. Véritable plaidoyer en faveur des valeurs partagées par l’entreprise, le catalogue a une facture très sobre: grande place aux photos (prises en septembre dernier à Tadoussac, Baie-St-Paul et Québec), 2 couleurs d’appoint, et l’utilisation d’une seule police de caractère. J’y ai signé tous les textes. Pour ce catalogue, j’avais le goût de faire sentir que bien que l’environnement soit au centre des préoccupations de Chlorophylle, l’être humain, lui, l’est encore plus. Travailler avec Laval Tremblay, directeur général et Josée Dufour, graphiste, est toujours un grand plaisir et c’est extrêmement gratifiant. Chlorophylle fait partie de ces clients qui te font te surpasser, qui réussissent à créer un climat hyper fertile au niveau de la création en te laissant carte blanche. La relation client-fournisseur y est presque inexistante: j’y suis chez moi, un membre de l’équipe, et ce, depuis 8 ans. Merci à tous chez Chlorophylle, et continuez à nous équiper pour jouer dehors!
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Mecfor, New Orleans, mars 2008.
Mecfor débarque en Nouvelle Orleans au «trade-show» TMS 2008 avec une nouvelle collection de documents à l’image de son tout nouveau branding. La toute nouvelle image de Mecfor prend de plus en plus forme. La création de documents de vente représentant les réalisations de l’entreprise vient renforcer un travail déjà entrepris avec le site internet en 2007. Toujours éclaté au niveau des slogans, Mecfor se distingue encore une fois, par son humour qui tranche dans le milieu souvent un peu plus sérieux de l’industrie métallurgique, mais surtout par une grille et une signature graphique bien définies. Piloté, à la fois par le bureau de Montréal et celui de Chicoutimi, le travail a été réalisé en un temps record grâce aux efforts soutenus de Maïté Bertaud et d’Éloise Harvey…et la fille de celle-ci. En effet, Maïli est venu passer un avant-midi dans mon bureau avec sa mère pour faire les dernières corrections. Je lui ai même fait chauffer un biberon: quand je vous dis que traitdemarc™ se veut différent, ce ne sont pas des salades. Je souhaite un méga-succès à toute l’équipe de Mecfor au TMS!
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29 Février.
Une journée rare pour des personnes très spéciales.
Le 29 février est une journée rare; elle se présente uniquement aux quatre ans. Des associations internationales de personnes atteintes de maladies rares ont décidé de consacrer cette journée à cette cause. Jusqu’à présent, la cause de ces patients n’était peu ou pas représentée. La plupart de ces maladies sont dégénératives et mortelles. Environ 75 % de ces maladies touchent les enfants et 80 % des maladies rares sont d’origine génétique. On estime qu’au Québec, environ 700 000 personnes souffrent d’une maladie rare. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean est touché par un certain nombre de maladies héréditaires rares. Parmi celles-ci, cinq sont particulièrement fréquentes, soit l’acidose lactique, l’ataxie de Charlevoix-Saguenay, la fibrose kystique, la neuropathie sensitivomotrice et la tyrosinémie. En cette journée spéciale du 29 février 2008, la Corporation de recherche et d’action sur les maladies héréditaires (CORAMH) a eu l’idée de rendre hommage à tous ceux et celles qui ont fait que les personnes atteintes de maladies rares dans la région ont aujourd’hui accès à des services de qualité en publiant une publicité dans Le Quotidien. Je joins ma voix à eux. La cause des maladies héréditaires me tient beaucoup à coeur: grâce à CORAMH, j’ai réalisé que mon métier pouvait aider de nobles causes, faire mieux comprendre et faire avancer des mentalités. Ce n’est pas rien.
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Deux femmes en or… et en aluminium!
Très intéressant l’article signé par Isabelle Labrie dans Le Quotidien d’aujourd’hui sur mon client SKL Aluminium. Intéressant, surtout qu’au cours de la dernière semaine, la fermeture de l’usine de pare-chocs de Rio-Tinto Alcan avait assombri le portrait des entreprises de deuxième et troisième transformation de l’aluminium. Intéressant de voir des entreprises d’ici, rivaliser et jouer un rôle majeur dans un marché mondial pas facile du tout. Pour y arriver SKL Aluminium peut compter sur une équipe de développement des affaires qui… n’a pas froid aux yeux! Je travaille plus particulièrement avec Cathy Larouche et Lucie Lapointe sur les outils de commercialisation et ces deux femmes sont exceptionnelles, imaginatives et audacieuses. Elles ont réussi, en peu de temps, à doter SKL Aluminium d’une image très personnelle, très différente des clichés exploités dans une industrie, disons-le, peu habituée à risquer et à sortir des sentiers battus. Il y aurait peut-être un parallèle à faire avec Mecfor, une autre entreprise de la région, qui ose dans ses communications. Gros point commun: les deux départements de communication-marketing sont menés par des femmes. Place au débat!
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Une 13 édition explosive!
Le Festival Jazz & Blues de Saguenay se déroulera du 26 au 30 mars 2008. Il accueillera au delà de 200 artistes et présentera plus de 40 spectacles pendant 5 jours d’activités. Dawn Tyler, France D’Amour, Clément Jacques, Angel Forrest, Lara pour ne nommer que ceux-là se produiront sur 13 lieux de diffusion différents. Je vous en reparlerai sûrement un peu plus pendant l’événement, en attendant, visitez le www.jazzetblues.com et réservez vos billets dès maintenant !
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Let’s Groove Tonight…
Qui ne se souvient pas de cette chanson-phare d’Earth, Wind & Fire du répertoire disco des années 80. Qui aurait dit qu’elle deviendrait un slogan publicitaire pour vendre de la machinerie industrielle en 2008. Mecfor, une entreprise de la région qui fait des affaires partout dans le monde, a toujours été reconnue comme une entreprise créative qui apporte des solutions innovatrices à ses clients. Quand il est temps de publiciser ses produits, son mot d’ordre a toujours été: originalité. Cette dernière campagne ne fera pas exception. Qui aurait dit qu’une rainureuse d’anodes pouvait brûler les planches…
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Vigneron en visite.
Promotion intéressante pour les amateurs de vin. Samedi, le 16 février de 17h30 à 19h, L’International Café, dans leur série «Vigneron en visite» reçoit le producteur des Château Clinet et Château Pajzos en Hongrie. Dégustation unique de 5 de leurs grands crus suivie d’un souper avec le vigneron Alain Gourdis. Le chef de l’International, Claude Laprise proposera un menu bistro spécialement en accord avec ces vins. Les places sont limitées. Pour info ou réservation: par mail: Natalie Lavoie, ou téléphone 550-9323.